Musical’Ré achète la première dLive de Francecommenter news la boite noire du musicien


Publié: 23 décembre 2015

La société Musical’Ré, basée à Auray (56), est la toute première à avoir investi dans un système dLive en France.

« Je désirais depuis plusieurs mois franchir le pas et acheter la dLive. Sa fiche technique est impressionnante et j’ai véritablement accroché lors de la présentation aux JTSE. En tant qu’habitué des consoles Allen & Heath j’ai tout de suite retrouvé mes repères, et en plus pour ne rien gâcher elle est très belle » déclare Bruno Damiani, directeur de Musical’Ré.

L’entreprise bretonne s’est équipée de la surface de contrôle S7000 et du mixrack DM48.

«Pour l’histoire, lorsque j’ai souhaité effectuer la transition de l’analogique vers le numérique je me suis directement tourné vers Allen & Heath. J’ai eu l’occasion d’acheter les précédentes iLive puis GLD et c’est très logiquement que je me suis tourné vers le système dLive, histoire d’avoir le nouveau bébé et de bénéficier des nouvelles technologies.
De plus il existe un fossé important vis-à-vis de la concurrence en termes de rapport qualité/prix.
L’adaptation à cette nouvelle console a été quasi instantanée. A mon sens l’environnement de la dLive est un mélange réussi entre ceux de l’iLive et de la GLD. J’ai beaucoup apprécié la luminosité des écrans, on peut sonoriser des événements en plein jour sans la moindre appréhension.
Enfin, la puissance est phénoménale, ce n’est pas demain qu’on arrivera à la mettre à genou. »

Musical’Ré a inauguré son système dans le cadre des Nuits Soniques à Auray le 19 décembre 2015.

«Nous n’avons absolument pas été déçus, bien au contraire. C’est une console très intuitive, ce qui est un gros atout lorsqu’on fait de l’accueil en festival. Il n’y a pas besoin de passer longtemps derrière les écrans pour comprendre le fonctionnement de la surface de contrôle. D’ailleurs je n’ai pas eu besoin de réexpliquer quoique ce soit au cours des balances et des concerts aux différents techniciens. C’est très bon signe» conclue Bruno Damiani.

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