Le Bus Palladium s'équipe avec une dLive S7000commenter news la boite noire du musicien


Publié: 4 décembre 2019

Lieu incontournable depuis sa création à Paris, le Bus Palladium s'est récemment doté d'une console numérique dLive Allen & Heath auprès d'Artefact Evènement.

Le Bus Palladium, inauguré en 1965, est situé en plein cœur du quartier Pigalle et sa réputation s'est forgée sur sa programmation essentiellement rock. Vincent et Nicolas, respectivement régisseur général et ingénieur du son du club parisien, reviennent sur le choix et l'utilisation de la dLive-S7000 à travers cet entretien.

 

La scène du Bus Palladium.

 

Pouvez-vous présenter le Bus Palladium ?

Vincent : Le Bus Palladium est composé de deux espaces distincts. Au rez-de-chaussée, on trouve une grande salle qui fait office de discothèque et salle de concert le vendredi et samedi. À l'étage, nous avons la partie restaurant qui peut également servir de discothèque. Ces deux lieux sont aussi propices à la privatisation. 

 

Quelle est la capacité d'accueil du Bus Palladium ?

La partie salle de concert peut accueillir 310 personnes et le restaurant peut accueillir 150 personnes. 

 

Avec qui avez-vous collaboré pour l'installation de la console ?

Vincent : Nous collaborons avec Artefact depuis plus de 6 ans et nous sommes passés par cette même entreprise pour exposer nos besoins.

 

La dLive S7000 est placée en face de la scène.

Quels étaient vos besoins ? 

Nicolas : Premièrement, nous recherchions une console proposant une connectique en RJ 45, pour faciliter l'installation et le démontage lors des concerts.

Deuxièmement, nous sommes amenés à accueillir des ingénieurs du son régulièrement. Nous voulions donc une console de mixage très simple à configurer et facile d'utilisation. De plus, nous souhaitions pouvoir récupérer le traitement du DJ via un stage rack. 

La qualité faisait également partie de nos critères. 

 

 

 

 

 

Quelle a été la configuration retenue ? 

Nicolas : Nous avons opté pour la dLive S7000. Elle correspond à nos besoins et d'un point de vue pratique, elle rentre dans notre régie qui est étroite. Elle possède 36 faders et ça, c'est génial ! À cela, nous nous sommes procurés un MixRack 48/24 qui nous permet de pouvoir brancher du ear facilement et de récupérer le traitement du son du DJ sans sortir la console.

 

La carte Dante est directement fixée à l'arrière de la dLive S7000.

Quelles fonctionnalités de la dLive utilisez-vous ?

Nicolas : Nous utilisons tous les plugins de compressions et d'égalisations ainsi que le Transient Controler. On se sert aussi de quelques reverbes et sub-harmoniques, même si l'on n'a pas encore fait le tour de tous ces plugins. 

 

Utilisez-vous des extensions ? 

Nicolas : Oui ! Nous utilisons une carte Dante lorsque nous sommes amenés à faire de l'enregistrement multipiste. D'ailleurs, Virtual Sound Check est super bien fait !  

 

 

 

 

Quels sont les atouts de la console ?

Nicolas : Cette console est très pratique. La bande de canal ("channel strip") est assez claire et on peut faire du son simplement, sans tomber dans de l'informatique. De plus, les écrans sont simples à configurer et ergonomiques. Ils permettent de travailler correctement, même avec un deuxième ingénieur du son.

Vincent : Un de ses plus gros atouts est l'accueil. On peut aisément présenter la session pour les besoins de l'ingénieur du son qui intervient. La configuration est rapide.

 

Les deux écrans de la S7000.

 

Pourquoi Allen & Heath ?

Nicolas : Tout d'abord, le son est bon ! De plus, on avait eu des échos positifs de la part d'un ingénieur du son qui a utilisé une S7000. Nous nous sommes également basés sur les conseils d'Artefacts.

 

Vincent aux commandes de la dLive S7000.

À qui recommanderiez-vous la console ? 

Nicolas : Je recommande cette console à des salles qui proposent régulièrement des concerts mais elle peut également convenir pour des tournées. Dans tous les cas, la console est très versatile et très simple à mettre en place.

 

 

 

 

 

 

 

 

Merci à Vincent et Nicolas pour leur témoignage.

Merci à Xavier Arruartena, chef de projet chez Artefact Evènement, pour sa confiance.

 

Pour en savoir plus sur Artefact Evènement : http://www.artefact-evenement.com/

Pour en savoir plus sur le Bus Palladium : http://www.buspalladium.com/


Pour aller plus loin : 
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